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Peu de livres ont suscité autant de haine, d’admiration et de polémiques que Last Exit to Brooklyn. À sa sortie en 1964, Allen Ginsberg prédisait que le roman allait « exploser sur l’Amérique comme une bombe infernale qu’on lirait encore cent ans après. » Cette prédiction est en train de s’accomplir : Last Exit est considéré aujourd’hui comme la première manifestation et le testament d’une esthétique totalement inédite à laquelle cette nouvelle traduction rend enfin et brillamment justice. Un classique de la littérature contemporaine et de la littérature tout court.
« Le héraut sublimement trash d’une Amérique en déglingue. » Bayon, Libération
« Roman de la marge, de l’absolu désespoir (…) Last exit to Brooklyn révolte les uns et subjugue les autres qui découvrent un style haletant influencé par le jazz, passion d’une vie. » Bruno Corty, Le Figaro littéraire