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« Les acteurs de Mai 68 n’étaient ni inspirés, ni généreux, ni ludiques. Ils étaient ennuyeux, empesés, mal embouchés, mal b... D’où ce malentendu de fond avec ma génération. Lorsque les enfants gâtés de Marx et de Coca-Cola ont accédé au pouvoir, la France a pris des rides et depuis lors le bonheur d’y vivre ne va plus de soi.
Ils l’ont dénaturée, ils l’ont enténébrée.
Que leur reste-t-il, sinon les ricanements de la dérision puisque enfin leur contestation du capitalisme n’aura servi qu’à le rendre plus oppressant ? Entre le gaucho d’antan et le bobo, droite ou gauche confondues, un demi-siècle se sera écoulé durant lequel les chemins de la liberté ont été désertés, et ce n’est qu’un début. »